Un essai pour comprendre le subspace
Je pense déjà qu’on n’est pas soumise, on naît soumise. Par contre, même si c’est congénital, il n’en demeure pas moins que cette posture se travaille.
Je pense déjà qu’on n’est pas soumise, on naît soumise. Par contre, même si c’est congénital, il n’en demeure pas moins que cette posture se travaille.
Un petit poème sorti je ne sais plus pour quelle raison. Me faut-il une raison ? Je ne sais pas, je vous le partage simplement.
La foi est sans fin. L’humain est un être qui a besoin de croire pour vivre. Elle est le fondement de toute motivation.
Lorsque j’ai reçu ce texte d’allotei pour me parler de la pression qu’elle se mettait, qu’elle vivait, j’ai à sa lecture entendu un slam, une poésie engagée. Un texte qui se situe entre sa diction et son chant.
L’écriture d’un fouet (agrémentée d’un acrostiche) sur le fessier de ma soumise allotei au cours d’une soirée : Munch & Play organisé par la Comtesse de Bathory au Velvet club à Brignais (69).
La neurophysiologie de la douleur explique qu’il y a deux voix fondamentales, deux systèmes qui interviennent dans l’explication de la douleur :
Une soumise SM, prend-elle réellement du plaisir dans la douleur ou prend-elle du plaisir à se faire du mal ?
J’écris à la suite d’une discussion avec un Dominant lors d’une soirée, qui évoquait le fait que son esclave parvenait à accepter la douleur car elle avait appris à la supporter…
La lecture de cet article vous permettra sans doute de comprendre l’origine du lien qu’il peut y avoir entre le Shibari / Kinbaku / SM (japonais) et l’érotisme / pornographie.
Assez fréquemment, on me pose la même question : Comment devenir dominant ? Avez-vous des conseils ? etc…
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