Une soirée avec Les Nuits Obscures
Je tiens avant tout à remercier Les Nuits Obscures, pour l’organisation de leurs soirées nomades, un peu partout dans la région Auvergne, Bourgogne, Franche-Comté et Rhône-Alpes.
Voici le compte rendu de mon esclave, de la dernière soirée que l’on a faite avec Les Nuits Obscures du 27 janvier 2018 en terre Vauclusienne :
Nous sommes arrivés à Mornas et nous découvrons la salle de réception. Les Patrons sont excessivement accueillants, tout autant que les lieux. J’ai beaucoup apprécié voir, assister et pouvoir aider à préparer la salle… Ce sont des moments magiques… j’adore cela…
Il est temps d’aller se préparer, de porter la tenue adéquate et être humblement à Vos côté.
Les invités arrivent petit à petit. Je viens Vous rejoindre dans la salle. Je ne sais trop où me mettre… J’ai le bonheur de Vous accompagner à une telle soirée, rassemblant uniquement des Pratiquants Réels du BDSM. Je tâche de rester à l’écoute, mais discrète pour ne point vous encombrer. Même si je ne suis pas proche de Vous, je sais à chaque instant où Vous êtes et reste attentive à la moindre de Vos injonctions…
Avec quelques autres soumises, nous sommes conviées à débarrasser les tables. J’avais un peu peur d’avoir des remarques ou des gestes à caractère humiliant, mais il n’y a absolument rien eu en ce sens. J’ai été particulièrement impressionnée par le respect et la tolérance que l’on a pu ressentir lors de cette merveilleuse soirée. Les corps des femmes, souvent nus, faisaient partie intégrante de la soirée, sans aucun jugement, sans aucun regard salace ou déplacé. Personnellement, vu l’image que j’ai de mon corps, c’était excessivement reposant et apaisant… Au niveau de l’ambiance, de l’atmosphère, cela n’a absolument rien à voir avec ce que l’on a pu rencontrer au Mistik (et clubs libertins). C’est complètement différent. Je ne sais si c’est généralement ainsi, mais c’est vraiment couleur « Havre de Paix » . Humblement merci à Monsieur Stane et aux Personnes qui le suivent dans ses organisations de nous offrir de tels moments magiques et exceptionnel.
Lors du repas, Vous avez joué avec les élastiques… D’abord sur le bras gauche et puis sur la jambe gauche… C’est une douleur que j’ai de la peine à contenir également… Pourtant rien du tout, mais ce sont de minis fouets à eux tout seuls !!! Où que vous les placiez, ça niaque grave !!!! Puis ça laisse de super jolies traces… Il y aurait presque moyen de faire une toile abstraite sur fond de peau ^^
Puis Vous jouez à ce que l’on tienne chacun un bout de l’élastique… je sais que je n’ai pas intérêt à le lâcher avant Vous ^^. Étant donné que Vous êtes dans le jeu, la boule de flipper a été lancée et je prends de la vitesse, donc un peu beaucoup d’assurance, de provocation… Je sais que Vous le sentez et je sais que le mur va arriver et qu’il n’y a que lui qui pourra m’arrêter…
Vous me faites poser l’élastique entre les dents et Vous tirez dessus, mais j’ai lâché avant Vous… le neurone avec son habitude à tout anticiper, dans son instinct de protection, s’est dit que si l’élastique venait fouetter les lèvres, il allait les exploser, car il connaît la douleur que ça inflige sur les autres parties du corps… Cela ne Vous plaît absolument pas, en une fraction de seconde Vos yeux deviennent noirs… le mur est là… la limite est atteinte, va falloir filer droit… Je sais que je dois reposer l’élastique entre les dents et que Vous allez réitérer le jeu… L’esclave sait aussi qu’elle doit Vous faire confiance et c’est elle qui vient étouffer la rébellion du neurone… Elle ne sait pas comment mais elle sait que Vous ferez en sorte que les lèvres ne soient impactées que très partiellement… Je ferme les yeux et Vous lâchez l’élastique, en posant les doigts de Votre autre main, auprès de mes lèvres pour limiter l’impact… Tout cela se passe en quelques secondes, mais c’est suffisant pour me remettre à ma place et calmer mes ardeurs de rebelle provocante ^_^
Après le repas, nous finissons de débarrasser les tables et là, j’ai eu le sentiment d’être en milieu scolaire, après la cantine et la récréation qui suit !!! Z’étaient tous avec leur Jouet, à taper, frapper, encorder, jouer, crier… une vraie cour de récréation après un repas qui a tiré trop en longueur… C’était très agréable de sentir cet engouement aux jeux, tout en respect, force et envie de vivre pleinement les choses…
Première corde à la soirée
Pas simple de se souvenir… Il y a eu du lourd et mes souvenirs en sont fortement altérés…
Première corde, Vous la posez au collier… Ce soir, je porte le large… le neurone se remet en warning total car ici il sert plus que celui de la veille, il n’est pas rond et j’ai encore moins de liberté pour éviter de me faire écraser la trachée… Vous me mettez évidement en déséquilibre sur la pointe des pieds. Enfin… je crois…
Je me souviens que Vous avez commencé par un harnais, les bras sont croisés dans le dos… Vous êtes en mode « délicatesse » version Éléphant dans un magasin de porcelaine… Vos gestes sont précis, bien placés… chacun pour faire mal à la moindre pose de la moindre corde, au moindre passage… Leur rugosité, leur sévérité et leur sadisme Vous accompagnent parfaitement dans Votre tâche… Le harnais est sévèrement serré. J’ai l’impression que j’étais sur mes deux pieds mais je n’en suis plus certaine… Je me rappelle que Vous avez enlevé, à un moment donné, la corde qui était rattachée au collier, mais je ne sais plus quand… était-ce avant ou après le harnais ???? Je suis incapable de le dire (je pense que c’est après)… J’étais déjà donc partie…
Je me rappelle que Vous avez ajouté une corde, au niveau du biceps gauche… Les cordes étaient déjà plus que serrées et Vous êtes venu chercher de l’espace dans mes chairs pour pouvoir y passer Votre corde, car il n’y en avait plus ailleurs… Il faut mordre sur sa chique pour ne pas laisser sortir les cris de douleur engendrés par ces sévères passages tant de Vos doigts que de la corde… brûlures et hématomes en prévision…
Je pense que Vous avez commencé à soulever le haut du corps, à me suspendre par cette corde qui était reliée au biceps gauche… je sais plus…
Par contre, le souvenir suivant est celui où Vous avez posé une corde sur la cheville du pied gauche et que Vous avez soulevé !!! Le corps s’est vu poser dans une terrible souffrance… Le haut du corps ayant tendance à être tourné vers la droite et le bas vers la gauche… La torsion était largement présente, et puis le fait d’imposer tout le poids du bas du corps sur la cheville gauche… la jambe droite était dans le vide et c’est la gauche qui avait la « lourde tâche » (sans mauvais jeu de maux), de porter tout le bas du corps… et cette jambe droite pendouillante… qui ne savait comment aider le corps pour soulager ses maux… J’avais l’impression que ma jambe droite allait s’arracher du corps, Dame Gravité faisant son œuvre avec grâce et insistance, lourdeur et puissance…
Dans un élan de détresse, le pied droit est allée se poser sur le montant du triptyque, auprès de la jambe gauche emprisonnée… Purée ces douleurs infligées !!!! Le neurone ne savait plus comment s’en sortir, tout était en alerte… J’ai rarement eu aussi mal… dans la tête c’est l’affolement total, je suis prête à demander grâce, à me dire que j’allais Vous implorer pour me relâcher parce que je n’étais plus capable d’encaisser, que j’étais devenue trop douillette pour poursuivre, que cesse cette torture !!!… l’esclave est venue péniblement à mon secours, car elle aussi était en apnée, « terrorrifiée » par la douleur infligée, quasi incapable de se maîtriser… elle était prête à éclater en sanglots, terriblement et humblement triste de ne pas pouvoir se battre, d’être au point de devoir laisser tomber les armes… L’enfer de la douleur physique conjugué à la démission de l’âme de l’esclave… C’est un incendie qui ravage tout… Mais la rage de vaincre est plus forte, il faut aller chercher au plus profond de son âme la force pour continuer à se battre et ne pas flancher, être digne, ne pas Vous décevoir, et surtout ne pas Vous faire honte… la jambe droite a pu rejoindre le montant et permettre au corps et à l’esprit de poursuivre cette lutte qui me semblait « impitoyable »…
Vous y avez rajouté une corde, sur la jambe droite pour la relier à la gauche. Il me semble que Vous avez basculé la tête vers le sol ???? mais je n’en suis pas certaine. Je sais plus trop… là… j’ai déconnecté…. Je suis incapable de dire ce qu’il y a eu ensuite… Le souvenir suivant c’est le fait que vous étiez en train de redescendre les jambes, mais dans une lenteur extrême, là où, une fois de plus on a envie de vous crier, mais purain de bazar de grumlot de nom de Zeus, zou, allez on met l’turbo et on lâche tout !!!!!!… Mais non, la descente est à la hauteur de tout le reste… lente et hypra douloureuse…
Je sais que Vous avez dû détacher… je présume que j’étais au sol… j’ai quelques bribes excessivement diaphanes… mais je ne parviens pas à me souvenir précisément…
Je me souviens que je suis à Vos pieds… j’ai du mal à revenir… La tension ne doit pas être très haute, je sens beaucoup de faiblesse en moi… Un moment, j’ai voulu « monter d’étage » et me mettre à genoux, à 90°… je me suis un peu appuyée sur Votre torse et en me mettant dans cette position, j’ai senti une vague monter en moi et me suis dit que ce n’était pas le bon choix d’avoir voulu remonter… j’ai senti que j’allais partir… je savais que ça n’allait pas Vous plaire, mais impossible à contrôler… Le neurone n’a cure de l’avis de l’esclave, il enlève toute résistance et tonicité au corps et sombre, l’emportant avec lui dans les abîmes du subspace…
J’entends Votre voix fâchée qui m’appelle… Il faut revenir, mais je n’ai pas envie… Et le combat mental continue… il faut trouver la force en soi pour s’accrocher à Votre voix et ne pas continuer à sombrer… C’est comme se noyer… tout en douceur, on se laisse engloutir par l’eau qui nous porte et nous enveloppe de sa douce texture, nous happant inexorablement vers le fond, la lumière du haut s’estompe de plus en plus et l’on se sent bien, lové dans un cocon d’ouate, le corps n’existe plus… ne subsiste qu’une parcelle de conscience… Et c’est elle qui va faire office de bouée de sauvetage, c’est elle qui va m’arracher à mon cocon et me ramener vers Vos mots, Votre voix sévère et fâchée… je me relève… je reviens vers Vous, mes yeux se plongent dans les Vôtres, comme pour s’amarrer et tenter de ne pas repartir… mon attention se pose sur Vos lèvres… je les vois bouger, j’entends le son de Votre voix et Vos mots… ils sont autant d’attaches et de bouées qui m’aident à rester à la surface… Le retour est vraiment plus que difficile…
Je me laisse envahir par une crainte immense de Vous avoir déçu…. Je n’ai pas été capable de supporter dignement cette corde, je me dis que je ne suis plus capable de supporter la douleur, que Vous allez être fâché sur moi de mon attitude, de mon manque de contrôle, de maîtrise, surtout que nous sommes en public et j’ai une peur incommensurable de Vous avoir fait honte… Je me permets de Vous poser la question si je suis devenue si douillette que cela… j’ai peur de lire la déception dans Vos yeux et la réalité dans laquelle je pensais être… Je pense que Vous abondez d’abord dans mon sens en me disant que oui, j’étais devenue très douillette et puis, je suppose que Vous avez dû lire la détresse dans mes yeux et Vous avez confirmé… oui, c’est une corde qui a fait très mal… Et Vous ne semblez pas « trop » déçu de mon comportement…
J’ai le souvenir de longues secondes (cela m’a paru de longues secondes) où j’étais simplement bien entre Vous, la musique et vos cordes… La musique a fait remonter en moi les souvenirs du château que nous avons visité à nous deux, tous seuls ; on nous avait donné les clefs… Je suis repartie avec Vous, dans l’espace carré de la cour… dans les couleurs, les lumières à travers les fenêtres, les vitraux, les portes à ouvrir… l’ombre et la lumière… un pur moment de bonheur et d’extase… Mais je suis incapable de le situer dans la chronologie de la corde… étais-je en suspension ou encore au sol… je pense que c’est pendant le harnais, mais j’ai en même temps le souvenir d’une sensation de flottement… cela devait être davantage sur le début… enfin je crois…
Humblement merci pour cet extra-ordinaire voyage, Maître
La séance d’impacts…
Vous me placez sur l’une des croix de Saint André.. J’inspecte le « lieu », savoir où je vais pouvoir poser les mains, seules « chaînes » qui me permettront de me relier à cette compagne ponctuelle et momentanée, le temps d’un voyage.
Je sais que Vous y allez crescendo dans les floggers… Je reconnais l’un et l’autre, mais pas tous, il y en a trop à présent… J’aime les premières sensations, ce vent qui caresse tout le corps et le met en émoi… Ce vent qui glace mon intérieur et me fait trembler… Il éveille et réveille les sens… Ca claque partout sur le dos, sur les fesses… Je me fais force de bouger le moins possible, mais je ne puis empêcher le corps de se bander et de monter sur la pointe des pieds, en danseuse, lorsque la douleur se fait trop présente et trop intense. Hors de question de fuir… Hors de question, là aussi, de Vous faire honte ou de Vous décevoir. J’aime par dessus tout ces aller-retours que Vous faites, ces contacts que Vous voulez bien m’offrir… cela fait virevolter et affolent les papillons dans le ventre, le corps se cambre sous Votre souffle, sous les caresses de Vos mains ou de Votre bouche qui effleurent ma peau… Le corps a envie, le désir monte intensément… les tremblements et soubresauts parcourent mon être tout entier… Le mot « connexion » prend tout son sens… Moments sublimes et de délices au cours desquels l’on implore le Temps pour qu’il suspende son vol…
Vos lames-ongles parcourent régulièrement le dos, tout au long de la séance… Au fur et à mesure du voyage, je me demande si Vous n’y allez pas de moins en moins fort, car sur les derniers passages, j’ai l’impression que Vous caressez le corps et plus que Vous les plantez dans ma chair…
Vous prenez les deux snakes et Vous les faites impacter, mais la douleur est assez soft… j’aime leurs caresses… Puis vient Victor… Vous le faites siffler, claquer et chanter tout près de mes oreilles… cela me déchire les tympans, les acouphènes qui suivent sont intenses, me plongeant dans une atmosphère sourde bordée de coton… Comme j’aimerais humblement qu’il s’abatte sur mon corps avec une telle puissance… Je suis incapable de situer les impacts qu’il a produit, sauf celui sur mes deux fesses, car apparemment, ça s’est mis à saigner… je Vous ai entendu Vous précipiter vers Votre sac, pour aller chercher quelque chose… c’était la bombe de désinfectant… mé mé mé !!! j’ai rien senti moi !!!! Il n’y a eu quasi aucune douleur, je n’ai pas pu ressentir le feu d’artifice qui est adorable… Sur le gras de la fesse, on ne sent quasiment rien… l’onde de choc doit se perdre dans toute cette graisse !!! Nan méo, elles m’ont taxé ma douleur quoi !!! Va falloir maigrir des fesses ^_^
Vous avez cessé après cette marque 🙁
Retour au calme… par contre, j’ai un peu de mal à le situer… cela m’a mis plutôt en forme et j’étais prête à remonter… en croix ^^… mais z’avez pas voulu 🙁 . Ensuite, il y a eu quelques enroulés, mais là aussi très soft… enfin, du moins est-ce ce que j’ai eu comme ressenti… ou peut-être avais-je déjà bien pris… je sais pas, mais cela m’a paru très court et supportable dans la douleur.
La dernière corde :
Là, ça devient de plus en plus confus… ce doit être la fatigue ^_^
Si mes souvenirs sont bons, Vous avez fait la même chose que la veille, à savoir de mettre les bras en V, mains vers la nuque et coudes vers le ciel. Aviez-Vous attaché le collier ? Je ne pense pas, je n’en ai pas le souvenir du tout. Avez-Vous tapé sur les pieds ? Prrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr je sais plus… Par contre, je me rappelle que Vous avez joué avec la corde passée entre mes deux jambes, torturant ainsi mon intimité. J’ai pour souvenir que Vous avez mis trois cordes qui me sciaient l’entre-jambes et que Vous Vous êtes un peu amusé avec elles… Je ne pense pas que Vous m’ayez mis en suspension… Elle m’a semblé assez rapide et courte cette corde et j’ai eu un peu de mal à supporter, parce que j’ai une peur bleue des douleurs infligées à l’intimité… je dois apprendre à mieux maîtriser…
Je n’arrive pas à faire revenir les souvenirs de la délivrance… juste celles qui sciaient mon corps en deux, mais pas les autres…
Je me rappelle du retour au calme, j’étais à Vos pieds et vous discutiez avec Maître Pierre… Je ne sais si c’est à cause du bruit ou parce que je n’étais pas encore totalement sur terre, mais j’avais de la peine à entendre ce qu’il disait… La seule chose dont je me souviens c’est qu’il a dit que j’avais l’air épanouie… C’est vrai, je planais… Je ne suis plus à « I believe I can fly »… mais « I know I’m flying »
Humblement merci pour tous ces merveilleux et fabuleux voyages, Maître.
Ce qui est particulièrement surprenant et fascinant, c’est que lorsque nous partons « en voyage », sur le moment, je suis consciente, je suis avec Vous au maximum, je sais que je suis « présente » d’esprit… mais après séance, le lendemain et les jours suivants, il y a des souvenirs auxquels je n’ai plus accès… Certains sont bien présents, comme les douleurs les plus fortes ; d’autres sont un peu confus et diffus ; d’autres encore sont en toile de fond diaphane… Puis il y a les « blancs »… impossible de faire le lien entre une position et une autre… Pourtant… j’y étais ^_^… Impressionnant 🙂
Je vous avais dit que Nicolas avait fait bien plus mal que Vous lors de ses cordes tortures… Je me ravise… Vous avez atteint d’autres sommets… et êtes à nouveau… Premier de Cordée ^_^
Il y a une réflexion que je me suis faite, suite à ce que nous avions vécu au Luxurious : il y avait sur place le photographe attitré des lieux. Au début, cela m’avait paru un peu bizarre et puis au final, lorsque nous avons reçu les photos, j’ai particulièrement fort apprécié… Ce monsieur avait su se faire très discret, un peu comme pour un reportage d’un événement, il a su se faire oublier, capturer et figer à tout jamais, des moments uniques des Ephémères et Magnifiques voyages que Vous nous faites vivre… Quel immense et intense bonheur de pouvoir les savourer humblement par la suite… Je sais que cela a un coût financier, mais cela pourrait peut-être être une suggestion et un plus pour les soirées de Monsieur Stane que d’avoir une personne non pratiquante, passionnée de BDSM et de photos, présente sur les lieux pour immortaliser ces moments exceptionnels…
A chaque fois que je Vous écris les comptes-rendus, j’ai froid et ça tremble à l’intérieur… j’ai une immense lassitude et fatigue qui m’envahissent… je suis comme « vidée »… c’est surprenant et étrange comme sensations…